Incarniste

J’ai enfin terminé ma lecture imposée de juillet par Vibration Littéraire ! Il s’agit de INCARNISTE, de MJK. Si vous aimez les romans fantastiques, avec une ambiance Young Adult, mais pas trop, ce roman est fait pour vous.

Ce qu’il faut savoir, et ce qui change par rapport aux autres romans, c’est que le personnage principal, Cassandra, à 29 ans au moment de la narration. Effectivement, ce n’est pas une jeune adolescente qui est au coeur de l’histoire. Même si au final, c’est un fait qui s’est déroulé lors de ses 17 ans qui va déterminer tout son futur. Mais je n’en dirai pas plus, à vous de le découvrir lors de votre lecture !

Que pensez-vous que votre esprit, votre âme fasse quand vous dormez ? Enfin, si vous faites partie des élus. Et bien, votre âme vit une autre vie dans un monde qui est impossible de localiser, Akasha. Un monde où la force de l’esprit est importante, où tous nos désires se matérialisent. Et où il est possible de passer un pacte avec un animal totem afin d’en prendre sa forme. Un monde qui fait rêver – c’est le cas de le dire – mais qui a tout de même son propre système politique, ses propres règles.

A l’âge de 12 ans, notre esprit passe une porte vers Akasha. Le novice peut atterrir dans une des cinq zones du pays, tous diriger par un décideur. Le novice est suivi par un tuteur qui est censé lui expliquer les règles de ce nouveau monde. C’est à l’âge de 17 ans que le novice décide de devenir Incarniste à temps complet, et donc d’abandonner sa vie dans le monde réel, sur Terre. Il est donc possible par la suite de monter dans la hiérarchie d’Akasha et d’atteindre des postes haut placés. Voici comment on pourrait définir dans les très grosses lignes ce qu’est vivre à Akasha.

L’histoire est assez captivante et facile à lire – enfin quoique, restez jusqu’à la fin de l’article – mais gardez tout de même un paquet de mouchoirs pour la fin, on ne sait jamais… Sincèrement, à aucun moment je ne me suis ennuyée lors de mal lecture, je n’ai pas ressenti de lenteur à un moment donné dans l’histoire. Cependant, la petite chose qui m’a vraiment gênée, et surtout durant les premières pages, c’est la décision d’employé passé simple comme temps de la description, alors que l’imparfait de l’indicatif aurait pu très bien faire l ‘affaire. Ce qu’il fait que des fois, il y a des concordances des temps malheureuses qui force l’auteur à employer des temps de conjugaison qu’on entend plus de nos jours. C’est à peu près la seule critique négative que je ferai sur ce livre.

*Contrairement à ce qui est noté sur l’image, le roman fait 272 pages.